Coproduction

Florent Meng : Les sentiers analogues

à partir du 1er avril 2022
En 2022, la montagne s’écroule peu à peu. Tenter une ascension est devenu plus risqué. Lors d’une expédition, un cristal de quartz fumé endémique est descendu par un groupe d’homme. Il est ensuite transmis à une équipe scientifique qui cartographie et traduit les signaux qui s’en échappent : les voix de l’assemblée des roches constituantes. Passant de main en main, le minéral est ensuite confié à des musiciens chargés d’entrer en dialogue avec lui.

Ludivine Zambon : La Sèrâ

à partir du 1er avril 2022
Dans le bassin genevois, le Mont Salève joue un rôle très particulier. Situé sur le territoire français, il fait pourtant intégralement partie de l’imaginaire et des pratiques urbaines helvétiques. Le Salève s’est nourri de nombreuses histoires entre résistance, contrebandiers, douaniers et faux-monnayeurs.

Depuis de nombreuses années et pour les naturalistes il est un lieu privilégié d’études, un laboratoire d’observations (géologie, paléontologie, entomologie et botanique entre autres) qui lui conférera la réputation de montagne la plus étudiée et décrite au monde.


La Sèrâ est un projet à la fois commun et individuel, fabriqué à partir de matériaux, documents et habitants présents dans ce territoire.

Il sera finalisé par l’écriture et le tournage d’un court film “apocalyptique” de fiction mettant en scène trois personnages tentant de survivre sur le Salève en faisant réapparaître des ressources disparues de celle-ci. Inspirés d'une lettre qu'aurait laissé le naturaliste Henri Gosse, les personnages déambulent dans cet univers toxique et changeant.


La Sèrâ, court-métrage, 17', 2022-23, 4k, 5,1, post-production en cours

Camille Llobet : Pacheû

du 1er janvier 2020 au 31 décembre
Projet en cours ( 2020 - 2023 )
Création sonore et vidéo en haute montagne
Essai documentaire
Projet réalisé avec les guides de Saint Gervais/ Les Contamines

Florent Meng : Les sentiers analogues

à partir du 1er avril 2022
En 2022, la montagne s’écroule peu à peu. Tenter une ascension est devenu plus risqué. Lors d’une expédition, un cristal de quartz fumé endémique est descendu par un groupe d’homme. Il est ensuite transmis à une équipe scientifique qui cartographie et traduit les signaux qui s’en échappent : les voix de l’assemblée des roches constituantes. Passant de main en main, le minéral est ensuite confié à des musiciens chargés d’entrer en dialogue avec lui.

Ludivine Zambon : La Sèrâ

à partir du 1er avril 2022
Dans le bassin genevois, le Mont Salève joue un rôle très particulier. Situé sur le territoire français, il fait pourtant intégralement partie de l’imaginaire et des pratiques urbaines helvétiques. Le Salève s’est nourri de nombreuses histoires entre résistance, contrebandiers, douaniers et faux-monnayeurs.

Depuis de nombreuses années et pour les naturalistes il est un lieu privilégié d’études, un laboratoire d’observations (géologie, paléontologie, entomologie et botanique entre autres) qui lui conférera la réputation de montagne la plus étudiée et décrite au monde.


La Sèrâ est un projet à la fois commun et individuel, fabriqué à partir de matériaux, documents et habitants présents dans ce territoire.

Il sera finalisé par l’écriture et le tournage d’un court film “apocalyptique” de fiction mettant en scène trois personnages tentant de survivre sur le Salève en faisant réapparaître des ressources disparues de celle-ci. Inspirés d'une lettre qu'aurait laissé le naturaliste Henri Gosse, les personnages déambulent dans cet univers toxique et changeant.


La Sèrâ, court-métrage, 17', 2022-23, 4k, 5,1, post-production en cours

Camille Llobet : Pacheû

du 1er janvier 2020 au 31 décembre
Projet en cours ( 2020 - 2023 )
Création sonore et vidéo en haute montagne
Essai documentaire
Projet réalisé avec les guides de Saint Gervais/ Les Contamines

Habeas Corpus

du 25 mai au 26 juillet
Habeas Corpus met en scène des œuvres d’où émergent des corrélations entre corps et langage. Comment le langage peut-il prendre corps ? Et dans une certaine réciprocité, comment le corps s’immisce-t-il dans le langage ?

La peinture de Marc Limousin est en soi une chorégraphie, un terrain de rencontre où la matière, le mouvement, la trace, l’écriture et le corps de l’artiste ne font qu’un.

Dans un registre singulier, Pierre Guimet emmène le langage et le corps sur le terrain de la fiction poétique.

Régine Raphoz questionne la symbolique des formes et nous invite à nous plonger là où la pensée et, par là même, le langage prennent corps.

Mythologies contemporaine

du 25 mai au 26 sepembre.
Chaque année, la Maison forte de Hautetour de Saint-Gervais accueille une exposition collective d'art contemporain ayant pour vocation de sensibiliser les publics aux différentes formes de créations actuelles d'artistes-plasticiens.

En 2021, l'exposition "Mythologies contemporaines propose de porter un regard sur les artistes ayant à cœur de révéler, dans leur travail, ce qui fait aujourd'hui le récit de notre époque et explore le thème de la narration envisagée comme expression plastique plutôt que récit. S'inspirant de mythes et de croyances ancestrales, ils revisitent cette notion pour faire écho à la société contemporaine et raconter ainsi le monde en train de changer.

Le 21e siècle a-t-il vu émerger de nouveaux mythes fondateurs de la société contemporaine ? Les mythes ancestraux sont-ils toujours d'actualité à l'heure où l'image et le réel occupent une place prépondérante ? Le mythe est-il aujourd'hui l'espace du repli intérieur pour faire face à une culture de masse stéréotypée et standardisée jusque dans l'intimité ? Autant de questions soulevées par les artistes dont les œuvres sont présentées.
Avec les œuvres de :
Laura BEN HAIBA & Rémi de CHIARA, Abdelkader BENCHAMMA, Pauline BOUCHARLAT, Camille CLOUTIER, Bertrand DEZOTEUX, Lola GONZALES, Tomoko KONOIKE, Florent MENG, Johann RIVAT, Clara SARACHO DE ALMEIDA, Jacques VILLEGLE.

ENCASTRABLE

du 10 au 17 juin
Entre Solarium Tournant et Le Centre d’Art de Flaine, juin 2021
Solarium Tournant invite le duo Encastrable composé de Paul Souviron et Antoine Lejolivet.
Encastrable invite le musicien Fatmapneumonia et le vidéaste Antonin Tricard.

Le tout pour une résidence productions protéiformes (sonores et vidéos) au Centre d'Art de Flaine, l’occasion de ressortir les décos de Noël et de randonner (ici les artistes sont alpins ou ne sont pas).

Camille Llobet : Pacheû

du 1er janvier 2020 au 31 décembre
Projet en cours ( 2020 - 2023 )
Création sonore et vidéo en haute montagne
Essai documentaire
Projet réalisé avec les guides de Saint Gervais/ Les Contamines

Ellispes histoire de passages

du 17 sepembre. au 13 novembre
Cette exposition est pensée comme un espace d’échanges et de dialogues, proposant aux visiteurs une rencontre intime avec les artistes, leur travail et leur histoire. Elle met en écho diverses formes de récits, témoignages, légendes, fables familiales et explore la notion de transmission. Le monde de l’humain se définit par sa capacité à transmettre et à s’approprier des expériences toujours nouvelles, et donc à se transformer lui-même. Pourtant, de nombreuses situations peuvent créer des disjonctions, des oublis, des brèches dans ce processus de passage qui vont néanmoins se révéler être des espaces d’appropriation et de création notamment pour les artistes.

Arno Gisinger Conférence autour de Album/Atlas, Pauline Horovitz Des châteaux en Espagne, 2013, MAKITA Performing, 2005, Valérie Mréjen Voilà c’est tout, 2008, Antoine Perez Rituel pour le Vivant, 2020, Ed Pien Hand String Games, 2012, Eugenia Reznik Dé-conter, 2018, Jenny Feal Lecture de termites, 2015

Pizzas céramique

du 21 au 21 octobre
Dans le cadre du partenariat entre l’ESAAA et la Ville d’Ugine, le Centre d’art et de Rencontres « CURIOX » accueille la soirée Pizza Céramique, temps fort dans l’exposition Le Grand Zinc de l’artiste Io Burgard.
Pendant cette soirée, Io Burgard complète l’exposition en invitant le projet « Peppina Ceramigiano » de l’ESAAA dans son espace.
« Peppina Ceramigiano » est un projet mené par l’atelier céramique de l’ESAAA où des pizzas en céramique sont créées par les étudiant∙es, artistes et enseignant∙es de l’école d’art.
Une partie des pièces seront montrées dans l’exposition de Io Burgard et une autre partie sera accrochée dans la pizzeria « Chez Noel » à Ugine.

Mon bleu mont Blanc

du 26 janvier au 16 mars
« Gravir des sommets, revendiquer le ciel ! En venant en résidence à la Maison forte de Hautetour, Pauline Delwaulle et Sébastien Cabour ont souhaité prolonger leurs recherches effectuées lors de leur ascension au mont-Blanc en 2018. Cette ascension avait pour enjeu de rejouer celle, historique d’Horace-Bénédict de Saussure et de mesurer à leur tour le bleu du ciel à partir du cyanomètre du scientifique. A travers le bleu enregistré, c’est toute la question de la représentation de la montagne qui est soulevé. »

«TOUS AZIMUTS » Sébastien CABOUR et Pauline DELWAULLE du 12 novembre au 14 décembre 2019



Sébastien Cabourg et Pauline Delwaulle forment un duo d’artistes dont le travail artistique commun s’attache à retranscrire des expériences du paysage. La capture de données provenant d’éléments du paysage est au fondement de leurs projets. Ils se confrontent aux espaces naturels pour en tirer des « prélèvements » et les réinterpréter ensuite en atelier.



« Cette exposition est traversée par l’idée de l’omniprésence du mont Blanc. Notre approche a consisté à l’éprouver, à tourner autour, à monter dessus. Nous nous sommes intéressés à sa conquête, à son ciel, à son nom, aux voies qui le gravissent, au statut qu’il a acquis. Observer le regardeur, observer les différentes formes circulaires qui sont à l’œuvre, et proposer de nouveaux points de vue : un mont Blanc réduit à une couleur, à quelques lignes brisées, à un microsillon. »



Ce projet à prit forme à l’Angle, il s’inscrit dans le cadre de la résidence d’artiste portée par la Maison Forte de Hautetour et Archipel art contemporain de Saint-Gervais Mont-Blanc, durant la Saison 2018/2019 et en partenariat d’Altitudes - réseau d’art contemporain en territoire alpin.
Ce projet fait partie de Project Room de Sébastien Cabour et Pauline Delwaulle dans l’exposition collective « On y marche avec l’oreille (L’appel du terrain) » à la Villa du Parc.

Cette exposition est en Résonnance de la biennale de Lyon 2019.

Hors Pistes #1 - Peindre ! Faire et parler peinture en 2019 !

du 24 octobre au 5 décembre
Avec l'ESAAA, une toute jeune génération d’artistes décomplexés s’installe à l’Arteppes. La peinture traverse leur pratique, en occupe une place prépondérante ou sert d’axe à leurs questionnements : peindre dans et hors cadre, sur le mur, dans l’espace ; du tableau à l’installation, de la peinture matière à la peinture dématérialisée, de la toile à la tablette !
Intégré au volet Résonance de la 15e Biennale de Lyon, le projet « Hors pistes » a été initié par l’ESAAA et l’ESBAN en partenariat avec le Réseau Peinture, Le Mikado / Arteppes – espace d’art contemporain (Annecy), Regard Sud (Lyon) et La Vigie (Nîmes). Trilogie d’expositions réunissant les travaux de plusieurs étudiant·es et jeunes diplômé·es, Hors pistes démarre à Annecy, avec un premier volet accueilli à l’Arteppes. Deux autres expos suivront à Lyon et à Nîmes.

Coralie Sanchez, Valentin Nicot, Adeline Margueritte, Nicolas Weber, Lys Constant, Soo Young Kwon (ESAAA), Kevin Hoffman, Flora Bongiovanni, Sarah Saint-Val, Juliette Bentahar, Romuald Guiboux (ESBAN)